Lorsque vous avez l’intention de lancer une start-up, vous allez réfléchir immanquablement à son financement. Le développement de votre projet en dépendra. Cet article traitera deux possibilités qui ont déjà porté ses fruits pour de nombreux entrepreneurs.
Lancer son start-up grâce à l’autofinancement ou bootstrapping
À part l’emprunt et les possibilités de rachat de crédit (Suivre ce lien : https://www.boursedescredits.com/guide-simulation-rachat-credit-799.php afin de faire rapidement une simulation de rachat de crédit), de plus en plus d’entrepreneurs se tournent également vers d’autres solutions afin de financer leur start-up. On peut mentionner, notamment, l’autofinancement ou bootstrapping. Il s’agit d’utiliser l’argent généré par ses propres ressources et son business pour financer le lancement et le développement de ce dernier. Pour ce faire, vous pouvez exercer une activité secondaire afin d’entretenir votre activité principale. Ainsi, bon nombre d’entrepreneurs montent en parallèle des activités de conseil en mettant en avant leurs expertises obtenues grâce à leurs projets de lancement leurs startups. Cette pratique a, de plus, l’avantage de renforcer votre crédibilité auprès de vos prospects. Il est aussi possible d’exploiter un marché B to B afin de financer votre projet d’entreprise B to C.
Il faudrait, toutefois, que vous prenez garde lorsque vous choisissez de faire du bootstapping. En effet, il se pourrait qu’avec le temps, vous vous concentriez beaucoup plus sur l’activité secondaire que vous avez choisi au départ. Puis, de ce fait, vous risquez de perdre vos objectifs de départ concernant votre activité principale. Par ailleurs, lorsque vous bootstrapez, l’économie revêt un aspect de la plus haute importance dans votre projet. Cependant, cela ne devrait pas être fait aux dépens de votre communication. Prendre soin de sa communication externe est indispensable afin de ne pas risquer d’être surpassé par l’un de ses concurrents sur le marché.
La love money pour financer sa start-up
Si vous optez pour la « love money », il s’agit du fait de faire une levée de fonds auprès de sa famille et ses amis, afin de financer le lancement et le développement de sa start-up. Cette pratique est aussi connue sous le nom de « Friends and Family » ou les 3 C (« copains, cousins, cinglés »). En règle général, vous devriez facilement obtenir facilement leurs soutiens. En effet, ces personnes vous accordent leurs confiances et connaissent à l’avance vos idées et vos projets. Cependant, afin que le choix de ce genre de financement ne vous soit pas préjudiciable, il faudrait que vous preniez en compte les conseils suivants.
Il est très important de définir auprès de vos proches dès le début les enjeux de leurs aides financières. Ainsi, vous devez leur prévenir qu’il ne s’agit pas d’un investissement sans risque. Bien sûr, la réussite de votre projet est une possibilité et vous ne ménagerez pas vos efforts pour y parvenir. Cependant, il y a aussi le risque le projet ne puisse pas aboutir et qu’ils perdent leur argent (et ne plus le revoir). Ce genre d’explication risque de diminuer le montant que vos proches se permettront d’investir dans votre projet, toutefois il est essentiel de leur mentionner ces précisions. Elles démontrent votre franchise et permettent aussi de ne pas prendre le risque nuire à votre relation future.
En parlant de relation, il est aussi nécessaire de formaliser les engagements entre vos proches et vous. Ainsi, rédigez un document juridique qui déterminera vos relations dans votre entreprise, ainsi que son fonctionnement. N’oubliez pas de préciser les conditions de sortie de chaque actionnaire dans ce projet. Un tel document mis en place en bon et due forme est essentiel pour établir la confiance entre les investisseurs et déterminer la place occupée par chacun dans votre entreprise.